A la fête du chaos L’entropie est une reine L’effondrement se déchaîne En de multiples fléaux Parfois reflets d’idéaux Qui ne sont qu’une gangrène…
Assassiner torturer Pour une quelconque cause Où l’autre n’est pas grand-chose Et doit donc être épuré Au sens propre et figuré Quelle noire apothéose…
L’histoire s’écoule ainsi Elle n’est que violence Mépris de la conscience Lorsque le ciel s’obscurcit Lorsque le cœur s’endurcit Tout n’est qu’insignifiance…
Mais qui pourrait-on prier Pour qu’un jour tout cela cesse La mort est une déesse Elle aime nous voir crier Pouvoir la contrarier Est impossible prouesse…