Un désir d’harmonie au milieu du chaos Comme celui du port au creux de la tempête Qui n’a jamais voulu la fin de tous fléaux Qui n’a jamais pleuré car vaine est cette quête…
Les rires de la mort recouvrent nos espoirs Elle a le dernier mot dans tout ce dialogue Qui n’a jamais voulu la fin de ses pouvoirs Qui n’a jamais pleuré voyant son catalogue…
La torture et la faim la haine et les combats -Son inspiration méprise les limites- Qui n’a jamais voulu que ce soit mis à bas Qui n’a jamais pleuré sur ces horreurs gratuites…
Ainsi tourne le monde avec ‘raffinements’ Ainsi coule le temps dans un flot de misère Qui n’a jamais voulu la fin des errements Qui n’a jamais pleuré dans un élan sincère…
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Vivons notre présent comme un gentil cadeau Qu’il soit dans nos regards comme une belle fête Qui n’a jamais voulu vivre ainsi crescendo Qui n’a pas espéré cette belle conquête…
