« Le froid n’existe pas » la chaleur en absence Nous a donné ce terme écho d’une carence
De la même façon « l’obscurité non plus » -Qu’un manque de lumière aux clairs reflets exclus-
Pour la mort est-ce idem le départ de la vie Etant procréateur d’une schizophrénie ?
…
Pensons-nous avec des concepts en trompe l’œil Où brille plus d’un leurre abusant notre orgueil ?
Nota : Poème sans prétention (écrit en toute subjectivité), né d’un célèbre entretien sur Dieu et la réalité du mal, entre un étudiant (un certain Albert Einstein) et son professeur.