La folie au pouvoir où nous emmène-t-elle -Et qui d’ailleurs pourrait la mettre sous tutelle- ? Alors tout continue et ternit le présent Ça craint pour l’avenir -c’est peu tranquillisant-…
Dans son peu de sagesse Son indélicatesse L’humain sème la mort Autant qu’il fait du tort Constamment il agresse La justice il délaisse Sévit la cruauté Comme la pauvreté Le mal est une altesse Il la sert sans faiblesse Faisant couler le sang C’en est même glaçant...
Ce délire au pouvoir n’est que celui de l’homme Qui de la déraison n’est jamais économe Survient la question serait-il une erreur Convertissant le pire en éternel Führer ?
Nota : ce poème a été publié dans le n° 194 (mars 2024) de la revue FLORILÈGE.