Un rêve qui s’éteint -chimérique bougie- C’est comme l’horizon qui décline et se meurt Plus de gentil miroir au regard allumeur Notre audace abusée alors sombre rougie…
Se diffuse un parfum -beauté d’une magie- Qui shunte la raison d’une étrange torpeur Qui fait fondre l’espoir -sinistre kidnappeur- Sans jamais s’excuser fume la nostalgie…
Et puis tout se dissipe au vent d’un courant d’air Le néant de l’oubli souffle sur le désert Il ne reste plus rien ni souvenir ni trace
Le temps nous émancipe y résonne un pourquoi Nos jours inaccomplis vite fait nous effacent L’ascète épicurien comble ce désarroi…
« On se croit mèche, on n´est que suif » Brel – Voir un ami pleurer.