Les naïades nues nageaient au gré de l'onde L'arabesque de leurs seins effleurant à peine La surface de ces eaux où le désir gronde, La rive s'ocrait de reflets terre de sienne...
J'étais moîte . Le lent ballet des nymphes Avançant à peine dans la douceur de l'été Troublait mes sens, et de mon sang la lymphe Bouillonnante atteignit la chaleur du lhété....
Je m’éveillai soudain et de ma rêverie Il ne resta plus que la douce caresse De la soie froissée des draps nacrés de mon lit, Onctueuse, et qui, avec délicatesse,