Qu’il est dur de comprendre pourquoi tu es parti, Dans ces nuages blancs mordorés de lumière, Quand ta vie a cessé au milieu de la nuit, Sur mon cœur déchiré, les vagues de la mer.
Mon âme en dérive les larmes plein les yeux, Je repense à ton rire qui lézarde mon cœur, Et tes sanglots glacés traversent langoureux, Le silence mon enfant, plus aucune lueur.
On me dit d’oublier cette lourde tristesse, Que le temps adoucit les tourments du passé, Loin de toi mon amour, inlassable détresse, Mais tu seras un ange d’un monde étoilé.
Qu’il est dur de se dire que la vie suit son cours, Sans ton visage d’or et tes yeux de diamant, Et de croire qu’enfin on dira pour toujours, Que tu es une étoile dans le firmament.