Ton visage rayonne de lumière Mais ton coeur est envahi de ténèbres Et de bruits des silences funèbres Qui règnent d'entre les morts, au cimetière. Ô mon beau jeune homme, frère au coeur laid De la moche et très sainte vérité. Tu convaincs avant même de parler Et dissimule ton indentité Car ton regard est celui des poupées. Ta voix, celle du silence qui chante N'est autre que la lame d'une épée Qui tranche l'âme de maniere lente.