Dans le cendrier noir! un bourgeon de cancer ! Ta main qui danse avec !... tes poumons de concert, Versent leur cendre grise, où mon cœur qui s'effraie, S'anémie amoureux, poussant des cris d'orfraie…
Et tu laisses ma joue à tes lèvres jouir De baisers fous, avant qu'on vienne t'enfouir, Et qu'ainsi mon corps las enfin se purifie, Mère! avant que le tien, si beau se putréfie!