Ma lumière ce nourrit des ténèbres Qu’exhale constamment la chaleur de ton corps Alimentant ainsi mes plaisirs funèbres Et toi insensible telle une idole d’or
Ô grande succube déesse des enfers Ton souffle m’envahit de ce saint désespoir Qui m’habite et me guide sur la terre Seul auditeur de mes sacrées plaintes du soir
Ton regard brulant provoque l’onirisme Que l’on guéri par la débauche et le vin Les hommes s’inclinent devant ton charisme Et se moquent de l’avenir de leurs destins