Furtivement la nuit Approche Dans son manteau noir Grimaçant Dans la folie du vent Elle éteint le soir Et allume ses feux Que seul le cœur peut voir
Une blessure profonde Des souvenirs de légende Se réveillent en flamme Et consument mon âme Recluse L’esprit ravagé de chagrin Je tends les mains Suppliant la nuit De cette voix gonflée de pleurs D’être un objet adoré De me consoler Elle seule me reste! Et me suffit Si seulement elle m'aimait Un peu! Je n'aurais alors rien perdu!