Mon amour était perdu, mais pas à jamais, Aujourd’hui par ta disparition il l’est. J’avais enfouie les jours malheureux Et même ceux qui furent heureux.
Je pleure sur toi, le chagrin m’envahit Tout me revient parce que tu es parti. La tristesse est grande de cet amour Qui n’a pu, hélas, être pour toujours.
L’enfer était déjà pour toi sur terre Sans que l’on ne puisse rien y faire, Parce que tu ne le voulais pas. Je prie qu’un paradis s’ouvre pour toi.
A présent, me revient la foi de croire Que tu peux, encore et à jamais, avoir Un havre où tout serait serein Un repos où tout s’apaisera enfin.