Dans la forêt de Brocéliande un matin je me souviens Sur un nid de feuille jaunie, une petite fée endormie
Tu as cousu sur elle, des ailes de verre Qui mène mes nuits au delà des rêves Tu as parsemé ses cheveux, des fleurs des bois Qui fait naître le printemps, le matin quand je m’éveil
Tu as déposée dans ces yeux, des paillettes d’or Qui illumine son regard, quand elle me dit < je t’aime > Tu as embruns son corps, à une source d’émeraude Qui donne à son image, le plus beau des paysages
Tu as glissé dans son regard, une aurore boréale Qui fait paraître à chaque l’arme, les couleurs de l’arc-en- Tu as dessiné ses lèvres, du sang des elfes Qui donne à son visage, un sourire interminable
Tu as unies son cœur, à celui d’une licorne Qui donne à son amour, une force insondable Tu as demandé aux lucioles, de la poussière d’étoiles Qui dévoiles chaque soir, les attraits de son charme
Dans la forêt de Brocéliande, un matin, je me souviens Emerveillé devant tant de beauté, je me suis évanoui