Je vais vers l’au-delà de toute peine Un jour l'aiguillon de l’extase. Une fois délivré, Geindra, enivré. Dans le sein de l’Amour. Une vie infinie Coule doucement en moi.
Je regarde vers ce tertre Qui éteint son éclat Une ombre apporte Une fraîche couronne Je sens la mort Dans ce flux rajeunissant. Mon sang se change en rivière. Et je meurs Dans le sacre de cet embrasement.