sur les nuages cotonneux avec les pierres angulaires, dans l’odeur des herbages, des rires sans mots cassés, dans l’obscurité du sursaut.
Je partirai Dans le creux du blizzard, aux côtés de l’acclamation, avec la mémoire du silence, le soupir d’un somnambule, dans l’urgence de l’alphabet.
Je partirai Avec le geste de l’ombre sacré, du cadran des images poétiques, sur le lit des mers, le grincement des vagues résonne sur les mots, la marche de la vie, l’arbre de l’éclat. Je pars !