Il est vieux, il est terreur, Tout ça c’est vrai, personne ne l’aime, Ses yeux sont durs, ses mains sont froides, Sa peau est jaune, ses loques noires…
Il est [drapé de tâches…] (bis)
Fantôme d’la nuit, Orph’lin du jour… Tout ça c’est vrai, personne ne l’aime, Ses ch’veux sont raides, ses dents sont noirs… Son corps squelette, son crâne d’ivoire…
Il est [couvert de vers…] (bis)
La bête à homme brandit sa faux Personne ne l’aime, mais lui s’en fiche Il a frappé le cou d’un pauvre, Détruit son corps, broyé ses os…
Son coeur est rouge, [du sang des autres…] (bis)
Il a brandit la tête cassée, La tête de Monsieur Personne… Mort et pour l’ultime cause Du monstre à homme, à barbe jaune…
Abominable soulagement de tous les temps…
HA ! HA ! HA ! HA ! HA ! HA ! HA !
Extrait de « cerveau en crue » 1989 Mis en musique en 1999