Ô terre inexplorée qui t’offre à moi ce jour, Comme l’aube d’une ère qui ne me verra pas Verser grises larmes, pour y trouver amour, Ou mordre à l'hameçon de mes mauvais appâts
Ô terre bienvenue qui brille de mille feux, Comme des phares de vie à mes yeux éblouis Et où brumes d’esprit prennent couleur bleue, D’un ciel enfin ravi, promesse épanouie
Et par monts et par vaux, Bonheur je t’ai cherché ! Goût de l’autre si cher, qui comprend à mi-mots… Cœur sensible et jumeau, meurtri des mêmes maux…
Ô terre promise, Espoir je t'ai trouvé ! Océan de lumière, ou nuits d’ébène encor'... Dans ta dualité, je retrouve mon décors…