Inventaire du Covid !
Un natif de la Chine, émigrant qui s'impose,
Avance en tous Pays, ne voulant pas de pause,
Dévastant l'Italie, Venise et tout le Nord,
Attila ravageur et semeur de la mort !
Un passeur de frontière qui s'attaque à l'Espagne,
Survolant l'océan et la haute montagne,
Qui laisse pétrifié, fait tomber sur leurs culs...
Des Ibères par milliers, malades et vaincus.
Puis vient le tour de France, mais pas à bicyclette,
De se frotter à lui en bataille et défaite !
Il avance toujours, ce connard de virus...
Comme autrefois César, Alexandre ou Pyrrhus !
Puis surfant les vagues, les flots de l'Atlantique,
Il atteint, tel Colomb, les rives d'Amérique :
New York en sa folie, un Président qui ment,
Qui trompe chaque jour, toujours énormément...
Peu importe les morts, protégeons la finance !
Dieu reconnaît les siens dans sa grande clémence...
Un peuple tout puissant est pourtant bien mortel,
Mais une autre élection justifie le bordel !
Sur l'autre rive aussi, c'est un Ministre à terre
Qui parle de Brexit pour sauver l'Angleterre !
Il poursuit son chemin, ce connard de virus,
Assis sur son nuage, un énorme cirrus !
Sur tous les continents, provoquant la Planète,
Il se rit des humains avec leur patinette,
Qui ne sont pas capables d'esquiver un récif
Et dans le mauvais temps naviguent avec leur pif...
Provoquant pour le monde : honte et paralysie,
Un masque pour cacher le droit d'euthanasie !
Ils ont accumulé des fautes, des erreurs,
Enfantant aujourd'hui le monstre des horreurs,
Qui se régale auprès de chaque homme qui tombe,
Bien plus que de misère ou d'éclats d'une bombe !
Il veut gagner sa guerre, ce connard de virus...
Et l'écrire en enfer au dernier papyrus !
En attendant demain, nous l'espérons, sa fuite...
Chacun veut deviner ce que sera la suite :
Président, politiques, médecins, infirmiers,
Journalistes à l'affût, trop souvent les premiers...
Tous les soignants unis, les chercheurs à la ronde,
Les pompiers , les taxis, tous les chauffeurs du monde,
Les enseignants d'école et d'université,
Les travailleurs inquiets pour leur activité,
Le ciel bleu sans avions, les avions dans voyage,
Les pilotes sans vols et réduits au chômage !
Mais nous le détruirons, ce connard de virus...
Alors, chantons sa fin en éclatant chorus !