Je rêve très souvent d'un monde merveilleux Où l'amour et la paix seraient obligatoires, Un monde sans enfer ni de vains purgatoires, Sans haine et sans torture ou délits crapuleux.
Un monde sans jaloux et surtout mois sectaire Où faibles et puissants, toujours plus ennemis, Pourraient se rapprocher, devenir des amis Et ensemble apporter la justice à la terre.
Et je rêve parfois, lorsque tombe le soir, D'un monde tolérant sans douleur, ni souffrance Où chaque être offrirait couleur ou différence Comme un cadeau sublime à l'invisible espoir.
Un monde où les humains de toutes les familles Unis dans la tendresse et le fraternité Feraient de la Planète un lieu d'éternité, De Paris à Pékin, de la Corse aux Antilles.
Et je rêve en secret, au bord du grand mirage, De libérer les mots en joutes de l'esprit, D'allumer le lumière avec le moindre écrit... Afin que chaque peuple ait le même éclairage.
Dans ce monde idéal chassant le désarroi, On ne connaîtrait plus la misère et la peine, La guerre abdiquerait, la paix deviendrait reine Et l'enfant du futur aurait l'amour pour roi !