Rien ne peut séparer Valérie et son rire, Tous deux sont le soleil au sein de la maison, La lumière ou le feu d'un coeur d'or qui respire, Des éclats lumineux sur un bel horizon !
Unissant pour toujours le meilleur et le pire, Rien ne peut séparer Valérie et son rire, Reflux et mascaret, mélange détonnant, Un orchestre en folie à son point culminant.
C'est la tempête en mer, l'orage qui déchire, L'écho dans la montagne et le souffle du vent ! Rien ne peut séparer Valérie et son rire... Pas même un gouffre obscur ou le triste couvent.
Oui, j'avais fait promesse et je voulais écrire L'offrande en un bouquet de fleurs d'un ménestrel Qui veut chanter le vrai d'un constat naturel : Rien ne peut séparer Valérie et son rire !