Grouchy hésitait trop, quand Blücher s'est pressé ! Les Aigles volent bas...Quel souffle les emmène ? Un canon tonne encore...Etrange phénomène : Le ciel boit le sang chaud du grenadier blessé !
Sur son pâle Soleil, l'Empereur terrassé Ne voit que trahison, pauvre faiblesse humaine ! Gloire, exil, avenir, vers une île , un domaine... Au bateau du destin, tout s'en va, dispersé.
Arès, Athéna, Mars, dieux guerriers de naguère, Abandonnent toujours les puissants de la guerre... L'orgueil se veut immense au miroir de l'espace !
Hannibal et César, Alexandre le Grand... Sur l'éphémère vie, un rêve naît et passe, Offrant pouvoir, grandeur, que la mort nous reprend !