Vos
poèmes

Tout en restant très assouplie
Veillant tout en étant assis
On n'en rigole, ont souri
Que de ce point à l'infini.

Aimer en sourire et en peur
Combler de ma grande rancœur
Assis je me désespère
Sur mon pauvre rebord en pierre.

Tendu ainsi dans le vide
A la recherche du gangue
Aussi dur et si solide
Que j'en claquerais ma langue

Incompris je m'en vais sans plis
Suivant ce revit sans répit
Doucement dans la bruyère
Je boirais ma fraîche bière.

Quand à cette femme seul,
Elle cache tout son koheul.

Sage et pourtant enfermé
Elle excuse mon cœur agité
Pleurant une raison voyante
Légère et si complaisante

Effleuré sa folle passion
Qui me nourri sans prévention
Et à l'approche de ce jour
Qui arrive sans grand secoure.

En tenant ce pauvre flingue
Accourcissent cette bringue
En risquant de me retuer
Solide, pourtant effleuré.

Encore son plus grand désir
De partir à la dérive
Chantant ainsi que l'ont respire
Dessiner comme l'étrive

La plus belle métaphore
Signant correctement ma mort.