Je t'écris mon cher ami, De par l'ivresse des vers: Celle qui étend les émois, Sur des mots indéfinis Que peut-être tu liras Sur des pages à l'envers.
Tu me liras quand je ne serai plus là, Et que l’aurore endormira Mes maux sous des plis, Que tu déferas Un beau matin,d'un sourire infini, A la lueur d'un autre Toi...