Spleen que le coucher réveille en doux traits Quand je m’habille de toi et m’en vais Quand soudain tout se noie autour de moi Dans des rayons blafards que me renvoient Des airs en notes qui coulent de toi.
Attente que le temps étend en vers Qui me démangent et qui te resserrent Messages qui nous lient de par les nuits De l’absence, et là c’est toujours ici Quand vibre mon corps et le tien aussi.
Angoisse étoffant mes émois pour toi Au delà d’un toit qui ni toi ni moi Jouissons de par la lointaine lueur Qui tout près nous allume sans pudeur Sous ses attraits en envie et ardeur.