Ici le printemps Révélant quelques lumières divines Observant les ruines Et cet homme à l’air quelque peu gitan J’écrase ma cigarette Pour en finir avec l’indiscrète amourette Je pars à travers les contrées magnifiques Du soleil d’Orient telle la mosaïque De paysages grecs Le ciel tel un saphir La tristesse du monde mis en échec Face à la nature qui va jaillir Pour accueillir la beauté d’un monde empreint de liberté Ici l’été La chaleur accablante Ouvre ton visage Elle te rend souriante Tu te décides ce sera ton dernier voyage Pour revoir les eaux bleus et le soleil cristal Tu crois en cet idéal Mort depuis longtemps dans les cœurs des hommes Mais toi la femme ensoleillée Empreinte de beauté Dans ce royaume Elevée dans les cieux Tu t’y rends pour cet homme gracieux Qui en été te redonne le sourire Telle une fleur la femme ensoleillée s’en est allée pour ref Ici les saisons Pour t’avouer qu’avec la poésie j’entretiens cette fabuleuse