Le mal qui m’habite Fait tourner ma tête en orbite La souffrance qui m’habite Ne peut pas être traduite À une miette piteuse je suis réduite Et ce, depuis que la boulimie m’a séduite Je n’ai jamais reçu de l’amour dans ma vie La boulimie sait étouffer le gouffre qui m’envahit Elle seule sait occuper ma cervelle de poisson Mais, des fois, j’ai recours à la boisson
Les deux pieds sur terre La tête dans l’air Je laisse la boulimie faire les choses à sa façon Je n’y peux rien. La conne, je suis accrochée à son hameçon