Cris, hurlements, gémissements Dans la nuit, dans ma tête, dans le vent J’entends les pleurs d’un enfant D’une gamine en famine dans un monde perturbant
Flatulences, éructations, déchets puants Intoxiquent la petite, l’étouffent, l’asphyxient La matière grise absorbe les substances pourries Les emmagasine dans le plus creux du taudis Et les cloître pour qu’elles restent ainsi à vie
Le mal produit, il n’y a plus moyen de les effacer Elles s’anéantiront peut-être, « someday », Seulement lorsque la petite cessera de respirer