Je pense à la noble poétesse Qui a eu la délicatesse De puiser comme toujours Dans son cellier d’amour À pleines mains pour me dédier Un poème et me souhaiter Avec la tendresse de son cœur De trouver le vrai bonheur Sur le chemin de la vie. Je l’ai connue sous le ciel gris Du pays plat, soleil radieux Qui illuminait tous les cieux En s’inspirant de la nature Et en écrivant sans bavure Sa “Chevauchée du temps” Que je chéris jusqu’à présent, Alice Mennig, mon amie Vous demeurez dans ma poésie Et mon cœur bien vivante.