Vos
poèmes

Eric, je ne t’ai pas bien connu
Toi qui fut un camarade de classe
De mon fils, as-tu trouvé ta place
Et la sérénité du paradis perdu?

À quarante trois ans, tu es parti
Après un combat long, douloureux
La maladie a vaincu, mais valeureux
Tu t’es défendu pour prolonger ta vie.

Entouré de ta femme, tes enfants,
Tes parents, tu as répondu en paix
À l’appel du Seigneur en pleurant

Silencieusement, peiné de les quitter.
Ta famille te pleure et se souviendra
Toujours que tu les a tous aimés.