La violence fait ses ravages de nuit, De jour et inlassablement poursuit Sa sale besogne avec grand bruit Pour imposer sans remords son atrocité
Elle est l’amie intime de la barbarie Qu’elle nous présente comme le paradis Où tous les pêchés, les crimes interdits Sont satisfaits au nom de sa seule vérité.
Elle se nourrit d’égoïsme et de tyrannie Pour glorifier l’intolérance impie Qu’elle rend immortelle et tant pis Pour le perpétuel viol de la bonté .
À la violence, à la violence impie Qui tourmente le monde sans répit A l’odieuse intolérance qui sévit Je dis, il est temps de disparaître.