La nature pleure, la violence se poursuit, Les tueries continuent jours et nuits, Aux bombes incendiares, au gaz sarin, Bombardements, destructions, le destin Des hommes, des femmes, des enfants, Le rapt. le viol, les tortures, au nom De Dieu le tout puissant l’horreur est Semée, la mort, une simple formalité, Des chiffres à diffuser, deux millions De réfugiés au nom de la révolution, De la liberté, les massacres, la brutalité De l’homme contre l’homme, la liberté, La bonté, la pitié, piétinées, baffouées Sans le moindre remords par les assassins Des deux côtés; il est invisible le chemin De la tolérance, de l’humanité, de la paix. Dieu se tait, les criminels sont satisfaits Où est la claire conscience de l’humanité, À quand la fin de la violence banalisée.?