La guerre des six jours avait commencé Sabet, un cousin de mon père en ce jour De juin mille neuf cent soixante sept vivait A Abbassia un quartier du Caire. Autour De lui, le silence de la nuit, brusquement Il fut réveillé ainsi que ses enfants Sami Et Rami en sursaut, Sarah son épouse fortement Emue, deux policiers à la porte en ce Lundi De juin venait chercher Sami pour vérifier Son identité, il serait dirent-ils de retour dans dix Minutes. Le portier, la voisine se demandaient Ce qui se passait, un jeune homme innocent Pris dans la tourmente de la défaite de l’armée Egyptienne serait privé de sa liberté exactement Trois ans, neuf jours, dix sept minutes et Cinquante huit secondes. Les policiers revenus Quelques jours après recherchaient le papa De Sami, heureusement, le brave portier su Les convaincre qu’ils l’avaient emmené déjà. Ce qui le sauva de l’humiliation, des souffrances Des abus de la prison. Jusqu’à ce jour Rami Sa maman Sarah ressentent de la reconnaissance Au portier, sa femme, et Abla Fawzeya, une amie De Sarah pour le support moral et la protection Qu’ils ont reçus durant ces dures années de la vie. Adieu à l’Egypte de la haine, leurs appréciations Va aux être intègres qui aidèrent à la survie Des juifs égyptiens partis depuis sans retour.