Je préfère ne rien dire Et surtout ne pas médire Sur ce pays où je suis né. Je vis dans la sérénité Une autre vie aujourd’hui Content de ma nouvelle patrie. Je ne passe pas mon temps A la glorifier, joyeusement J’écris des poèmes pour parler De la vile violence, l’absurdité Des guerres, de mes prières Pour que les religions meurtrières Arrêtent de fomenter la haine Et que règne la paix souveraine En espérant qu’un monde uni Renonce à la violence pour la vie.