Une pluie de tristesse était tombée Sur son coeur avec la chute des feuilles, La neige viendrait, le gris du ciel, La froidure n’allaient pas le récomforter.
La mort avait encore une fois frappé. Le réveil de la nature au printemps Allait lui donner quelque soulagement. Le cousin parti, les souvenirs de l’été
Reviendraient pour soulager son coeur Attristé par cette réalité permanente Qui l’avait fait pleurer sans aucune honte, Il lui dirait adieu et accepterait le malheur.