En admirant le paysage, il rêvait, Dans le ciel, un oiseau tournoyait, La musique cuivrée des cigales Et l’odeur de la lavande provençale Lui remplissaient l’âme de sérénité. Il aimait ces collines, la tranquilité Absolue qu’il ne trouvait qu’içi. Il voulait finir ses jours loin de Paris De la pollution, du vacarme continuel Qui lui percait les oreilles et le rituel Triste de la ville, en Provence, il passerait Ses jours sous le soleil brillant; en paix Dans ce pays à la luminosité unique tant Recherchée par les peintres, les amoureux A la recherche du bonheur absolu à deux. Il ferait le voyage pour l’éternité, un matin Avec les senteurs de thym et de romarin.