Meurs la violence qui mène au tombeau Elle me révolte en distribuant le malheur Sur son chemin, accompagnée de la terreur Son fanatique chien qui fait le beau.
Élimine la haine dans un monde de cruauté Où l’amour prisonnier de l’intolérance Nous rappelle par sa douloureuse absence Que la vraie paix recherche l’éternité.
M’écoeure les rouges sillons du racisme Qui écorche la liberté en toute impunité Et traque inlassablement le pluralisme.
Me rassasie les fruits de la tendresse Et de l’amitié qui unissent les hommes Et parfument par leurs saveurs la sagesse.