L’Égypte où nous sommes nés, a bien changé Mais notre solide amitié est demeurée Constante dans la sagesse de la tolérance Que tu recherches depuis ta naissance. À Héliopolis sur les bancs du Lycée Nous avons connu dans la liberté, la fraternité Qui a scellé nos uniques liens pour la vie Et nous a permis de demeurer toujours amis, Malgré les peines et les vicissitudes du temps. Toi l’ambassadeur et moi le psychiatre, nous avons Un but commun, la paix et comme outil la raison Qui seule peut éloigner les funestes passions, Les abus et bains de sang de toutes les révolutions. Le combat journalier pour la paix se poursuit Par toutes les saisons contre la haine qui nuit Et la violence impie ; l’amitié, l’espérance, La diplomatie et la psychiatrie rejettent l’intolérance Et s’unissent dans la poésie pour bâtir un monde nourri Par l’amour de la tolérance, la douce mélodie De la fraternité qui fleurit les chemins de l’amitié, Touche nos cœurs, apaise nos âmes et mènera à la paix.