À quand la fin de l’ignorance, À quand l’agonie de la sauvagerie, À quand la fin des bestiales tueries, Des massacres, de l’ignoble intolerance?
Des questions posées dans ma poésie, Et que je pose à toute l’humanité, Dans le silence de l’égoïsme, la cruauté, Le sadisme et la barbarie étouffent la vie.
Et pourtant, je garde l’espoir Que la paix des coeurs triomphera De la folie meurtrière et des jours noirs.
Et sous le soleil des quatre saisons, Je rejette la différence qui désunit Et je vois vivre la sagesse de la raison.