La violence distribue de gros galets Qui sont bien lourds à transporter, Pour soulager son fardeau, sa peine, Elle s’amuse à les lancer avec haine Pour terroriser et tuer des innocents.
Le jeu de la violence automatiquement Se poursuit partout dans le monde, Et malgré son âge avancé, la ronde Infernale sème la mort. Son odeur Nauséabonde ne fait pas le bonheur De l’humanité, incapable de l’éliminer, Elle choisit de fraterniser et d’utiliser La violence contre ce mal qui survit Et nous fait parler et rêver du paradis.
Par tous les temps, sous tous les cieux La violence appelle à la violence et Dieu Nous l’a dit. Sommes nous aveugles, sourds Ou masochistes pour porter ce lourd Fardeau? Faut-il continuer sur le chemin De la destruction en utilisant le venin De la maléfique violence qui ne sert à rien Qu’à nous faire oublier l’amour du bien?