Ô libre pensée, berceau de la liberté Tu es aujoud’hui muselée Par l’absurdité des politiciens Ces médiocres musiciens Du politiquement correcte. Qui jouent la mélodie abjecte De l’apaisement de tous ceux Qui ne seront heureux Que par la suppression de la liberté Et l’installation dans la passivité De la servitude dans la dhimmitude. Il est temps de défendre sans ambiguité Notre très précieuse libre pensée Qu’il ne faut pas censurer au profit De la dictature intellectuelle honnie Des religions sanguinaires.