C’est les yeux grands ouverts rivés Sur un ciel à peine brumeux Que j’aperçois ma rue, heureux, La pluie me remplit de sérénité
Je devine de ma fenêtre les arbres verts Contents sous un vent réconfortant, Alors que des piétons en se dépêchant Envoient de brefs messages à travers
Une foule bon enfant qui roule au milieu De la pollution et des bruits de la ville Qui irritent les gratte-ciel, prie Dieu
De la délivrer de cette cacophonie Égoïste et polluante qui la touche Pénible nuisance à sa quotidienne vie.