La brume épaisse qui aveugle Ma ville resserre l étau Aujourd’hui sur mon cerveau Qui cherchait à démontrer Que le serein chemin ignoré De la bonté et de l’amour Mène à la fin du parcours à la fraternité et la paix, Dans ce monde de violence, De rouge terreur, d’intolérance L’amour en premier est méprisé Une vilaine faiblesse à rejeter Car sa mauvaise recette Ne peut que mener à la défaite Des braves qui veulent unifier L’humanité par une pensée Unique, la soumission des dhimmis Et en retour les vierges du paradis Pour les martyrs. Comment démontrer Aux tenants de ces absurdes pensées, Basées sur le mépris et l’ignorance, Qu’elles conduisent à l’intolérance? Comment dégager de la brume Ces cerveaux où des rhumes Chroniques font sans arrêt exploser La haine et terroriser l’humanité? . L’épaisse brume maintenant partie Et mon poème journalier écrit, Je dis n’avoir pas trouvé les solutions Aux problèmes des meurtrières religions, à l’ignorance maladive du monde Qui depuis sa création abonde.