J’aime quand les oiseaux chantent En voyant le vent glisser entre Les feuilles mortes qui signalent Le sommeil de la nature et son réveil Avec les premiers bourgeons.
La mélodie se poursuit, l’espérance Demeure de voir la fin des ouragans Destructeurs qui affligent l’humanité Toujours à la recherche de la paix Dans un monde égoïste et divisé.
La haine détruit, l’harmonie séduit Par sa recherche de la lumière Elle indique la sagesse qui luit À l’horizon sous le regard attendri Des oiseaux chantant l’hymne à la vie.