La réalité de la férocité de l’intolérance Face au monde par sa vile violence M’a horrifié, un jeune reporter capturé, Sa tête sous le soleil de l’été est tombée.
La hideuse bête noire a frappé sans pitié En troublant la conscience de l’humanité. Les yeux du décapité, au-delà du soleil D’août recherche en vain l’arc-en ciel
De la sérénité. Le sang des mécréants N’est-il pas sacré au yeux des méchants? Dieu, le miséricordieux n’aime-t-il pas Tous ses enfants qui séjournent ici-bas?
La barbarie va-t-elle vaincre et l’inhumanité Est-elle le chemin qui mène à l’éternité? Mon cœur de douleur se serre et je pleure Devant la rage et l’absurdité de l’horreur.