La main de l’oubli ne peut pas toucher Les souvenirs que dans mon cœur J’ai conservé et qui faisaient honneur Au pays où la tolérance alors régnait.
Hélas, les mains de la haine ont frappé Et la tolérance, le respect ne sont plus Sur la terre hospitalière que j’ai connue Où il faisait bon de vivre dans la diversité.
La compréhension disparue et étouffée Par les mains sadiques des promoteurs De la haine, a mené le pays au malheur.
La religion est utilisée par la confrérie Des frères musulmans pour égorger La liberté et couper la main à la fraternité.
La majorité de la population dégoûtée A exigé une constitution démocratique Pour que tous les égyptiens vivent en paix.
Les frères musulmans n’ont pas compris Que la démocratie se doit d’être éclairée Et non pas imposée par la violence impie.