Un poème que je lis dans un livre de poésie : Le rêve d’échapper à la violence, la haine, Et la douleur qui veut consoler la peine Que je quitte pour la sérénité du paradis.
Vais-je vraiment trouver la paix cachée Loin de notre univers où la haine galopante Se moque éperdument de la vie chancelante Face à la barbarie qui inonde les âmes torturées.
Hélas, l’univers pervers demeure triomphant Sur notre pauvre terre où l’éthique et la vertu Succombent à l’intégrisme odieux et annihilant.
La lecture finie du poème, je constate que rien N’a changé, le monde de la haine poursuit sa valse, Sans se soucier du renouveau de l’espoir et du bien