Dans les sombres dédales de la mélancolie Où ma vie s’ est perdue, règnent la tristesse Et le doute qui me plongent dans la détresse, Forteresse où se trouve les râles de l’agonie.
Je suis indifférent au doux bruit de la pluie Et les rayons de soleil ne réchauffent plus Ma pauvre âme torturée, rejetée au rebut De la damnation éternelle et de l’oubli.
Je n’ai plus le désir de déclarer ma flamme, Ou la vitalité d’affronter ce monde infâme Qui m’empêche de voir le soleil de la vie.
Je ne goûterai plus à la saveur de tes baisers Ni à la rondeur de tes seins, ainsi en a décidé L’amer destin de la fin de mon séjour sur terre.