Je me réveille et j’écoute le murmure Du vent qui caresse le soleil lointain, À l’ombre des palmiers viendra demain La chère liberté et la mort des tortures.
La vallée du Nil se souvient-elle de son passé Glorieux, de la fin de l’esclavage des hébreux, De Moïse libérant son peuple et heureux De lui offrir les dix commandements, à observer.
L’alizé me rappelle que la liberté ne survit Pas sans l’application par toutes les nations Du respect et l’égalité des diverses religions Et sans la renonciation à la violence impie.
Les hommes vaniteux et égoïstes oublient De respecter cette simple vérité, si appliquée Permettrait au monde de respirer la paix Et de démontrer qu’elle n’est pas une utopie.