Un ciel gris noir, froid gèle mes pensées Face à l’horreur de la violence qui sévit Dans un monde égoïste, indifférent où la vie Ne compte pas et les crimes sont banalisés.
Mon coeur se fend de douleur et mon esprit Gémissant cherche à conserver la sérénité Indispensable au maintien de ma lucidité Qui m’évite de sombrer dans la folie.
Quand les feux de la violence sans prévenir Tuent des innocents tel un volcan en furie Les témoins sont frappés par la tragédie,
Sa démoniaque horreur fait pleurer les cieux, Et la pluie tombante nous soulage de ce fardeau En nous conduisant l’âme apaisée au tombeau.