La nuit porte conseil, Ce matin au réveil Je décris les caresses Du soleil et la tendresse D’un ciel azuré, Porte de la sérénité. Je ressens de l’empathie Envers ce monde meurtri, Violé par la violence Et la permanence De l’injustice et du mal.
Un monde vieux Qui refuse de dire adieu à la déraison, la perfidie Et recherche un paradis Illusoire et promet Le bonheur dans l’éternité. Un monde de fer et de sang Tremblant et agonisant Par manque de compassion Et les excès des révolutions.
Un monde de terreur à la recherche du bonheur Perdu et retrouvé Dans le bien et la fraternité, Un monde sans violence Qui vit dans la tolérance, Synonyme de paradis Sur la terre qui sourit.